QUELQUES COMMENTAIRES ET EXTRAITS DE PRESSE .

COMMENTAIRES

De Charles Hernu, Ministre de la Défense (le 11 sept. 1985)

… « C’est un livre bien émouvant (d’autant plus que l’actualité s’y prête). Je dois dire que je l’ai lu en une seule nuit tellement il est passionnant »…

De Henri Amouroux de l’Institut (12 sept. 1985)

… « Votre livre est passionnant. Il m’a mené jusqu’à 3 heures du matin, ce qui est d’un bon compagnon. On reste stupéfait devant l’inertie des autorités françaises militaires et gouvernementales »…

De quelques « anciens du 2 bis »

… « Je m’associe pleinement aux observations que vous faites sur l’inutilisation par le haut- Commandement des informations et des avertissements que lui fournissait le S.R. J’ai fait la même observation tout au long de ma carrière y compris au S.D.E.C.E. et dans les deux États-majors alliés auxquels j’ai appartenu. La chose la plus difficile dans l’art du renseignement est de convaincre l’échelon supérieur de la certitude de ce qu’on lui transmet… » ( Colonel B. GALLIZIA).

… « Page après page j’ai eu le plaisir et l’émotion de voir revivre le Chef et les camarades – hélas aujourd’hui tous disparus – de notre 2 bis : Rivet, Perruche, Schlesser, Navarre, Bertrand et plus particulièrement ce dernier devenu pour moi un grand ami (…)

Il reste que vos pages constituent un excellent témoignage de l’efficacité de nos Services Spéciaux actuellement si décriés. Il est malheureusement vrai que depuis la Libération l’accroissement constant de la quantité a eu sans doute comme corollaire l’affaiblissement de la qualité, et aussi, sans doute surtout, les patrons n’ont plus été des professionnels formés dans et par le métier (…) quand on confie la direction d’un orchestre à un bonhomme qui ne connaît pas la musique, il faut s’attendre à des fausses notes »… (Colonel P.H. ARNAUD).

… « Émouvant de revoir tous ces noms si cordialement familiers et porteurs de souvenirs (…) Poignant de revivre ces temps qui, vous le montrez bien, nous laissent un goût amer. D’autant que ce ne sont pas les temps actuels et leurs désolantes affaires qui apportent consolation (…)

Merci, et même si vous le permettez, merci pour le 2 bis ! (Colonel R. TRUTAT)

Du Général Pierre RENAULT (Professeur à l’École de Guerre)

… « Je vous avais promis de vous adresser des remarques sur quelques pages (1) de votre remarquable ouvrage. Dans ces pages se révèle une confusion entre le 39em Corps blindé de SCHMIDT et le 15em Corps de Hoth. (…) Cela n’affecte en rien l’ensemble passionnant de votre livre »…

Échos de l’étranger :

… « J’ai lu cette histoire avec grand intérêt et admiration. La contribution française à la reconstruction et au décryptement de l’E.N.I.G.M.A. nous a été indispensable »… (Colonel T. LISICKI, ancien collaborateur du Colonel LANGER au bureau du Chiffre polonais).

… « J’ai lu votre livre avec beaucoup d’intérêt et d’admiration pour vos recherches. Je compte faire usage de vos résultats et attirer l’attention sur leur importance dans mon prochain ouvrage à paraître en 1986 sur L’Histoire du Renseignement en Grande-Bretagne (Professeur Sir Harry HINSLEY, Maître de conférences à Cambridge.)

… « Je vous félicite d’avoir écrit une oeuvre de première importance pour l’histoire de l’espionnage, de la cryptographie et de la 2em guerre mondiale. Vous avez apporté beaucoup de faits inconnus ainsi que des documents inédits et votre travail aidera énormément les historiens »… (David KAHN, NEW YORK, U.S.A., spécialiste de renommée mondiale en cryptologie et histoire.)

… « Je viens de recevoir votre livre et m’empresse de vous en féliciter. Cela est, vous permettez de le dire, un récit à la fois lucide, important et bizarre (sic). Je trouve stupéfiant que l’Abwehr ait découvert la trahison de SCHMIDT dès mars 1943 et que néanmoins nous avons continué à lire les codes E.N.I.G.M.A. jusqu’à la fin de la guerre. Il reste toujours des mystères… » (Peter CALVOCO­RESSI, spécialiste de la machine E.N.I.G.M.A. à BLETCHLEY-PARK.)

… « Je suis persuadé que vous réussirez pleinement à intéresser le public à ce grand sujet dont vous faites fort bien ressortir l’importance… » Professeur J. STENGERS, spécialiste d’Histoire contemporaine à l’Université Libre de Bruxelles.)

EXTRAITS DE PRESSE

… « Il a fallu 40 ans pour qu’un as des services secrets français nous fasse cette stupéfiante révélation : dès 1931 nous avions notre espion chez Hitler ! Dans quarante ans on nous dévoilera peut-être l’étendue des dégâts récemment causés en R.F.A. et aux États-unis par des espions à la solde des Soviétiques.

Aujourd’hui le Colonel PAILLOLE révèle qu’en 1939 la France possédait un espion au sein même de l’État-major allemand. Mais on ne l’a pas écouté »… Le Figaro Magazine, 14 septembre 1985.)

Recevoir les actualités par email