Après GRISOT, le colonel VINCENT apparaît dans la galerie de ces précurseurs de choix. Nous sommes en 1885. VINCENT expose un jour, dans un substantiel compte-rendu, sa situation. Il fait état de la pauvreté de ses moyens et plaide avec chaleur l’octroi d’un budget conforme aux “besoins considérables” qui se manifestent. Pour étayer son propos, il se réfère à l’organisation et aux ressources du SR allemand, son antagoniste né. aussi dans ce numero la publication de l’ouvrage du colonel Paillole ” notre espion chez Hitler”.