Principaux fondateurs de l’amicale

Colonel Paul PAILLOLE

Chef du contre-espionnage militaire français de 1940 à 1945, le Colonel Paul Paillole fut le Fondateur-Président de notre amicale. Celle-ci animée par lui pendant de longues années, et jusqu’à son dernier souffle.

Soucieux de vérité historique, il est l’auteur de nombreux écrits, dont 3 livres qui font autorité. Grand acteur des combats de l’ombre et témoin privilégié de la guerre, il est considéré par les historiens et ceux qui s’intéressent à l’histoire du renseignement et de la seconde guerre mondiale comme une référence.

Général Louis RIVET

Louis Rivet a été commandant des services spéciaux militaires français à partir de juin 1936. Il devint en 1940 responsable des services spéciaux du régime de Vichy avant de rejoindre la France Libre à Alger en novembre 1942.

Durant l’été 1940, Rivet jette les bases de l’organisation clandestine des services spéciaux au sein de l’Armée d’armistice. Le Bureau des menées antinationales. (BMA), sous l’autorité de Rivet, mènera des actions contre l’Abwehr, mais aussi contre l’Intelligence Service.

Colonel André SEROT

André SEROT tirait de ses origines une simplicité, une droiture et un amour de son pays, qui allait conduire sa destinée.

Son assassinat à Jérusalem en 1948 a fait prendre conscience de la nécessité de garder dans la Paix les liens de solidarité tissés durant la lutte. Le colonel Sérot n’a pu voir naître et vivre l’Amicale, mais sa mort a sans aucun doute été l’un des moteurs de la création de notre amicale.

Général Henri NAVARRE

Après l’Armistice, il poursuit ses activités dans l’Armée d’armistice et est nommé chef du 2e bureau du général Weygand à Alger chargé à la fois du renseignement et du contre-espionnage.

Rappelé en 1942 pour ses actions anti-allemandes, il entre alors dans la clandestinité et devient chef du SR de l’ORA. Il participe ensuite à la libération de la France à la tête d’un régiment blindé de la 1re Armée.

Général Guy SCHLESSER

Général Guy SCHLESSER

Le général SCHLESSER a laissé le souvenir d’un chef de blindés audacieux, impétueux et imaginatif. Remarquable entraîneur d’hommes, il est un ” doctrinaire de la manoeuvre blindée et de la primauté du char sur le champ de bataille “.

Une mémoire vivante

En mémoire de près de 320 hommes et femmes morts pour la France, entre 17 ans et 83 ans et dont les noms sont gravés sur le Mémorial National de Ramatuelle.