Congrès : Membres, exclusivement

Réunions dans la salle Anatole-France de l’Hôtel de Ville de Tours, puis dans sa superbe salle des fêtes.

En Assemblée, notre très regretté Président national adjoint, le Général Albert Meyer décédé le 6 mai 2006, est élevé à la distinction de Président d’Honneur. Est confirmée la date de la cérémonie de parrainage par notre amicale ( le 10 juin ) du Commando Parachutiste de l’Air N°10 sur la base aérienne d’Orléans. Est rappelé notre patronage du bâtiment Dupuy-de-Lôme, récemment accordé par le Chef d’État-major de la Marine. Sont soulignées les fructueuses relations nouées avec le nouveau Service Historique de la Défense (SHD).

Cérémonie de dépôt de Gerbe au Monument aux Morts ( Hôtel de Ville de Tours )
Une émouvante cérémonie présidée par M. le Sous-Préfet de Chinon, représentant M. le Préfet d’Indre-et-Loire, s’est déroulée devant le monument aux morts situé dans le péristyle de l’Hôtel de Ville en présence de nombreuses personnalités civiles et militaires, ainsi que des présidents, porte-drapeaux et membres des associations patriotiques. M. le Maire a tenu a préciser tout le plaisir qu’il avait à accueillir notre amicale et l’intérêt qu’il prenait à un tel congrès.
 
Un congrès de retraités très “spéciaux”, Presse Quotidienne Régionale – La Nouvelle République, 27 mai 2006 : C’est un ancien officier de marine, le genre ancien baroudeur, la barbe taillée de près. Il a dû servir la Nation sur tous les terrains de conflits du globe pendant un quart de siècle. Mais il n’en dira rien. Ni sur les lieux, ni sur ses missions. Trop tôt. Le secret est érigé en dogme, mieux que ça, en ligne de vie chez ces messieurs-là. Ces messieurs aux cheveux gris, retraités de la DST, de la DGSE, de la DPSD, qui tenaient leur congrès à Tours. Des « agents du renseignement » dont la fonction intrigue et suscite tous les fantasmes. Beaucoup ici ont risqué leur peau dans des territoires hostiles. Comme Jean D…, l’aîné, dans le renseignement depuis… son engagement dans la Résistance en 1940, à 15 ans ! Passé dans le contre-espionnage par la suite. « Ah, si nous avions eu des clés USB pendant la guerre 39-45 pour passer des messages, notre boulot d’agent de liaison aurait été moins dangereux… », sourit l’octogénaire. Octopussy ? Dr No ? OSS 117 ? Connaissent pas! « On n’aime pas le terme d’espion. L’espion, c’est l’autre, l’étranger, l’ennemi. Notre mission, c’était la protection des intérêts de la Nation, sur le territoire national et à l’étranger. Point. » La conversation avec trois anciens officiers durera deux heures. Sans confidence. D’ailleurs, le congrès se déroulera à huis clos. Pourquoi? Le président de l’amicale des anciens des services spéciaux de la Défense nationale, créée au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, s’excusera: « Nous avons tous rempli des missions spéciales. Et tous, nous avons dû cloisonner notre vie. Il y avait le travail et à côté, la famille, les amis. Ce n’est pas une contrainte le secret, c’est la règle du service. Nos agents et nos anciens officiers traitants ne sont pas du genre à raconter ce qu’ils ont fait, vu et entendu. Quand nous voyons certaines copies de documents classés Très Confidentiel Défense dans la presse, à propos d’une certaine affaire qui fait l’actualité, on est tous choqués. Ça ne se serait pas passé comme ça de notre temps… » Pascal LANDRÉ
 
Cérémonie au cimetière de Maillé où a été érigée la stèle qui …

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