A l’ École Interarmées du Renseignement et des Etudes Linguistiques ( E.I.R.E.L. )

Les liens avec l’Amicale remontent à la création de l’École, au temps du Gal. Burthey, puis du Gal. Pichot-Duclos qui invita le Colonel Paillole à inaugurer la salle d’Honneur à laquelle fut donné le nom de ” Général Rivet ” en 1990 et où sont exposés bien des souvenirs de cette guerre du renseignement qui fut menée par nos anciens.A l’issue de deux conférences exceptionnelles sur l’évolution du renseignement d’intérêt militaire et les perspectives d’avenir, il est remis par l’Amicale et au nom du fils d’un officier de nos services ( membre de notre amicale ) le parachute d’un agent des services allemands et le conteneur d’armement qui l’accompagnait. ( agent intercepté par son père – bataille des Ardennes – 1944 ).A noter : E.I.R.E.L. a cédé la place, le 1er juillet 2006, au Centre de Formation Interarmées au Renseignement ( CFIAR ).

Au Monument aux Morts pour la France de la Ville de Strasbourg

Une très belle et très émouvante cérémonie en présence des plus hautes autorités civiles et militaires et avec la participation de très nombreuses associations patriotiques.

Au Parlement Européen où se sont tenues nos Assemblées générales

Après notre congrès 2004 – en les locaux de l’Assemblée Nationale à Paris – et tournant la page du 50e anniversaire de l’Amicale, le Congrès 2005 à Strasbourg est un point d’orgue. Il représente en effet la quintessence de notre souci de fidélité au passé et d’ouverture sur notre monde en constante évolution. Bien des souvenirs nous unissent à l’Alsace. Ils sont pour beaucoup liés à l’Histoire et, pour ce qui concerne nos services spéciaux, à celle de la guerre. ( Notre dernier Congrès à Strasbourg en 1971 était présidé par le Colonel Paul Paillole, Président-Fondateur et Madame la Maréchale de Lattre, notre présidente d’Honneur ).

Au ” Struthof ” où nous nous sommes considérés en ” pèlerinage “

 Ce camp de concentration unique en France fut découvert en novembre 1944 par le détachement 600 de la Sécurité Militaire française, intégré au VI° Corps américain de débarquement. 4 des nôtres y furent exécutés comme tant de Résistants. Nombreux également furent assassinés la veille de la libération du camp… Un de nos anciens ( déporté à Dora ) fait le récit des souffrances que lui et ses camarades endurèrent aussi et par la suite dans les camps de travail, et comment il parvenait à saboter malgré tout les gyroscopes de fusée qu’ils étaient chargés de fabriquer. 
Voir le site du Struthof