Bibliographie sur l’affaire Markovic

( parutions dans les années 1970 )

Exécution d’un homme politique. (Ph. Alexandre, Grasset, Paris, 1973).

Dossier B…comme barbouzes. (P. Chairoff, Alain Moreau, Paris, 1975).

La vérité sur l’affaire Marcovitch. (C. Clément, Lanore, 1976).

La conjuration. (F. Marcantoni, Orban, Paris, 1976).

Dossier E…comme espionnage. (N.F. Fournier et E. Legrand, Alain Moreau, Paris, 1978).

( parutions dans les années 1980 )

Pour rétablir une vérité. (G. Pompidou, Flammarion, Paris, 1982).

Aux ordres du S.A.C. (G. Lecavelier, Albin Michel, Paris, 1982).

Mais qui a tué Markovic? (F. Marcantoni, Favre, Paris, 1985).

La Piscine. Les services secrets français 1944-1984. (R. Faligot et P. Krop, Seuil, Paris, 1985).

Des assassins au service de l’Etat. Rebondissements dans l’affaire Markovic. (T. Avramski, La Pensée universelle, Paris, 1985).

( parutions dans les années 1990 )

Georges Pompidou. (F. Abadie et J.-P. Corcelette, Balland, Paris, 1994).

Georges Pompidou, 1911-1974. (E. Roussel, Lattès, Paris, 1994).

Le Général en Mai. Journal de l’Elysée II, 1968-1969. (J. Foccart, Fayard, Paris, 1998).

Mémoires secrets. (Monsieur X, Denoël, Paris, 1998).

DST. Police secrète. (R. Faligot et P. Krop, Flammarion, Paris, 1999).

( parutions dans les années 2000 )

Marchiani. L’agent politique. (E. Lemasson, Seuil, Paris, 2000).

Un homme d’honneur. (F. Marcantoni, Balland, Paris, 2001).

Histoire du S.A.C. La part d’ombre du gaullisme. (F. Audigier, Stock, Paris, 2003).

Cadavres sous influence. (Ch. Deloire, Lattès, Paris, 2003).

Histoire secrète de la Ve République. (R. Faligot et J. Guisnel, La Découverte, Paris, 2006).

L’indic et le commissaire. (L. Aymé-Blanc, Plon, Paris, 2006).

Une sale affaire. Markovic, Marcantoni, Delon, Pompidou et les autres. (J.-P. Méfret, Pygmalion, Paris, 2007).

Les Enigmes de la Ve République. (Ph. Valode, First, Paris, 2007).




Bibliographie sur l’assassinat de Kennedy

( parutions dans les années 1960 )

J.F.K., the Man and the Myth. (V. Lasky, Macmillan, New York, 1963).

Le jour où Kennedy fut assassiné. (L. Bernières, Gerfaut, 1963).

22 octobre 1962: le coup de tonnerre de Cuba. (J. Daniel et J.G. Hubbell, Laffont, Paris, 1963).

John F. Kennedy, President. (H. Sidey, Atheneum, 1963).

Memorandum for the Director of Central Intelligence. Subject : Plans of Cuban Exiles to assassinate selected Cuban Government leaders. (The White House, Washington, June, 10, 1964).

Dallas, Public and Private. (W. Leslie, Grossman, New York, 1964).

Rapport Warren. (Collectif, Bentam, 1964).

A Texan looks at Lyndon. (J.E. Haley, The Palo Duro Press, 1964).

Les assassins de Kennedy. (Th. Buchanan, Julliard, Paris, 1964).

Oswald: assassin or fall guy. (J. Joesten, Merlin Press, London, 1964).

Ma lutte contre la corruption. Les Kennedy face à Jimmy Hoffa et au gangstérisme syndical. (R.F. Kennedy, Laffont, Paris, 1964).

Memorandum to Mc George Bundy from Gordon Chase ; Subject : Assassination of Castro. (The White House, Washington, June, 15, 1965 )

Portrait of the Assassin. (G.R. Ford & J.R. Stiles, Bantam, New York, 1965).

Unanswered Question About JFK Assassination. (S. Fox, Award Books, New York, 1965).

L’affaire Oswald. (L. Sauvage, Minuit, Paris, 1965).

17 avril 1961: la baie des Cochons. (H. Johnson, Laffont, Paris, 1965).

Le procès de Dallas. (Fr. Pottecher, Arthaud, Paris, 1965).

Inquest. The Warren Commission and the Establishment of Truth. (E.J. Epstein, Viking, 1966).

Kennedy. (Th. Sorensen, Gallimard, Paris, 1966).

Les 1000 jours de Kennedy. (A.M. Schlesinger, Denoël, Paris, 1966).

Rush to the Judgement. (M. Lane, Rinehart & Winston, New York, 1966).

Le FBI inconnu. (F. Cook, Denoël, Paris, 1966).

Dallas, un crime sans assassin. (F. Kiesel , Pierre de Meyer Editeur, Bruxelles, 1966).

The Truth About the Assassination. (C. Roberts, Grosset & Dunlap, New York, 1967).

Were We Controlled? (L. Lawrence, University Books, New York, 1967).

La mère d’Oswald parle. (J. Stafford, Trévise, Paris, 1967).

L’homme qui crut tuer Kennedy. (P. Gosset et R. Gosset, Presses de la Cité, Paris, 1967).

Les Kennedy. Histoire d’une dynastie. (R.J. Whalen, Trévise, Paris, 1967).

Mort d’un Président. 20-25 novembre 1963. (W. Manchester, Laffont, Paris, 1967).

La vérité sur le cas Jack Ruby. (J. Joesten, Casterman, Paris, 1967).

La vérité sur la mort du président Kennedy. (Collectif, Historama, n° 187, 1967).

The Day Kennedy was Shot. (J. Bishop, Gramercy Books, 1968).

Assassination. The Death of JFK. (R. Morin, Signet, New York, 1968).

( parutions dans les années 1970 )

Johny we hardly knew ye. (K. O’Donnell, D. Powers, Little Brown & Co, 1970).

A Heritage of Stone. (J. Garrison, Putnam, New York, 1970).

The Ordeal of Otto Otepka. (W.J. Gill, Arlington House, 1970).

Dallas : l’affaire Ruby. (Fr. Pottecher, Edito-Service, 1971).

Executive Action. Assassination of a Head of State. (D. Freed, Dell, 1973).

Portrait de Lee Oswald. (R. Oswald, Beckers, 1973).

November 22, 1963, you are the jury. (D. Belin, Quadrangle, 1973).

Legacy of Doubt. (P. Noyes, Pinacle Books, New York, 1973).

An Essential Memoir of a Lunatic Decade. (W. Hinkle, Putnam, New York, 1974).

Presumed Guilty. (H. Roffman, Barnes, Crandbury, 1975).

They’ve Killed the President! (R.S. Anson, Bantam, 1975).

Appointment in Dallas. (H. MacDonald & G. Bocca, McDonald Publishing, New York, 1976).

Mort d’un président. (W. Manchester, Laffont, Paris, 1976).

Hoover. (J.M. Charlier et P. Demarest, Laffont, Paris, 1976).

The Two Assassins. (R. Hartogs & L. Freeman, Zebra Books, New York, 1976).

Les complots de la CIA. (D. Antonel, A. Jaubert et L. Kovalson, Stock, Paris, 1976).

Connivence. (M. Bonfanti, Orban, Paris, 1977).

Coincidence or Conspiracy? (B. Fensterwald & M. Ewing, Zebra, New York, 1977).

Marina and Lee. (P.J. McMillan, Harper & Row, New York, 1977).

Exploits et bavures de l’espionnage américain. (P.de Villemarest, Famot, 1978).

Legend. The Secret World of Lee Harvey Oswald. (E. Epstein, Hutchinson & Co, 1978).

LBJ and the JFK Conspiracy. (H. MacDonald & R. Moore, Condor, Westport, 1978).

Comment ils ont tué Kennedy. (M. Eddowes, Grancher, Paris, 1979).

( parutions dans les années 1980 )

Wilderness of Mirrors. (D.C. Martin, HarperCollins, 1980).

Best Evidence. Assassination of JFK. (D.D. Lifton, Macmillan, New York, 1980).

Conspiracy. Who Killed President Kennedy? (A. Summers, Fontana, 1980).

La fausse énigme de Dallas. (A. Moss, La Table Ronde, Paris, 1980).

Les secrets bien gardés de la CIA. (Th. Powers, Plon, Paris, 1981).

The Plot to Kill the President. (R. Blakey & R. Billings, Times Books, 1981).

Dallas, le dossier truqué. (F. Rieder, Famot, Paris, 1982).

The Kennedy imprisonment. (G. Wills, Little Brown, Boston, 1982).

Scandals, Scamps and Scoundrels. (J. Phelan, Random House, New York, 1982).

Les Kennedy, une dynastie américaine. (P. Collier et D. Horrowitz, Payot, Paris, 1984).

Reasonable Doubt. Assassination of JFK. (H. Hurt, Rinehart & Winston, New York, 1986).

The Agency, Rise and Decline of the CIA. (J. Ranelagh, Simon & Schuster, New York, 1986).

Profumo, les dessous d’une affaire d’Etat. (Ph. Knightley, Bourgois, Paris, 1987; pp. 269-281).

Hoover vs the Kennedys. Second Civil War. (C. Gilmore, St Martin’s Press, New York, 1987).

Contract on America, the mafia murder of president Kennedy. (D.E. Scheim, Shapolsky, New York, 1988).

Who Shot the President? (J. Donnelly, Random House, New York, 1988).

Mafia Kingfish : C. Marcello and the Assassination of JFK. (J. Davis, Macgraw-Hill, 1988).

Treize meurtres exemplaires. (D. Venner, Plon, Paris, 1988).

On the Trail of the Assassins. (J. Garrison, Sheridan Square Press, New York, 1988).

The Second Oswald. (R.H. Popkin, Avon, New York, 1988).

High Treason. Assassination of JFK. (R.J. Groden & H.E. Livingstone, Conservatory Press, 1989).

The Great Expectation of John Connaly. (J. Reston, Harper & Row, 1989).

L’assassinat du Président Kennedy. (D.Venner, Perrin, Paris, 1989).

Libra. (roman ; D. DeLillo ; Stock, 1989).

( parutions dans les années 1990 )

The Texas Connection : Assassination of JFK. (C. Zirbel, Weight & Co, 1991).

Kennedy : enquêtes sur l’assassinat d’un président. (Th. Lentz, Collin, Paris, 1991).

Conspiracy of One. (J. Moore, Summit Group, 1991).

Act of Treason. (M. North, Carroll & Graft, New York, 1991).

The Way we Were. 1963, the Year Kennedy Was Shot. (R. MacNeil, Carroll & Graft, 1991).

L’assassinat de Kennedy. (A.L.P., Hors Série n° 1, Paris, 1991).

Best Evidence. (D.Lifton & D.S.Lifton, Signet, 1992).

Fatal Hour. (R. Blakey & R. Billing, Berkeley Books, 1992).

JFK. The Last Dissenting Witness. (B. Sloan & J. Hill, Pelican, 1992).

Mortal Error. The Shot that Killed JFK. (B. Menninger, St Martin’s Press, New York, 1992).

Notre homme à la Maison-Blanche. (S. Giancana et C. Giancana, Laffont, Paris, 1992).

First Hand Knowledge. (R. Morrow, Shapolsky, New York, 1992).

Who Killed JFK? (C. Oglesby, Odonian Press, Berkeley, 1992).

Accessories After the Fact, The Warren Commission. (S. Meagher, Vintage Books, 1992).

JFK, affaire non classée. (J. Garrison, J’ai lu, Paris, 1992).

High Treason II. (H. Livinstone, Carroll & Graft, New York, 1992).

Plausible Denial. CIA and Assassination of JFK. (M. Lane, Plexus, London, 1992).

Coup d’Etat in America. (M. Canfield & A.J. Weberman, Quick American Publishing, 1992).

John Fitzgerald Kennedy. Le second complot. (M. Smith, Zelie Productions, 1993).

Kennedy, les 1000 jours d’un président. (A. Kaspi, Armand Colin, Paris, 1993).

The Assassinations of John and Robert Kennedy. (L. Hayman, Scholastic Paperback, 1993).

Whitewash. (H.Weisberg, Avalon Publishing Group, 1993).

The Killing of a President. (R.J. Groden, Viking Studio, 1993).

Killing the Truth. JFK Case. (H. Livinstone, Carroll & Graft, New York, 1993).

The Last Investigation. (G. Fonzi, Thunders Mouth, New York, 1993).

Who’s Who in the JFK assassination. (M. Benson, Citadell Press, 1993).

The Plot that Killed Kennedy. (J. Mars, Pocket Books, 1993).

Case Closed. Oswald and the Assassination of JFK. (G. Posner, Random House, New York, 1993).

Marita. One Woman’s Extraordinary Tale of Love and Espionage from Castro to Kennedy. (M. Lorenz & T. Schwartz, Thunder’s Mouth, 1993).

JFK. Breaking the Silence. (B. Sloan, Taylor Publishing, Dallas, 1993).

Where Were You When President Kennedy Was Shot? (A. Van Buren, Mcmeel, 1993).

The Plot to Kill Kennedy and Castro. (C. Furiati, Ocean Press, 1994).

Oswald and the CIA. (J. Newman, Carroll & Graf, 1995).

Oswald’s Tale. An American Mystery. (N. Mailer, Random House, New York, 1995).

Killing Kennedy and the Hoax of the Century. (H. Livinstone, Carroll & Graft, New York, 1995).

The Wit and Wisdom of JFK. (A. Ayres, Meridian Books, 1996).

Assignment : Oswald. (J.P. Hosty Jr, Arcade Publishing, 1996).

Les péchés du père. Les origines secrètes du clan Kennedy. (R. Kessler, Albin Michel, Paris, 1996).

Oswald talked. (R. La Fontaine & M. La Fontaine, Pelican Books, 1996).

November in Dallas. Bus tour information booklet. (J. Backes, JFK Lancer Publications, 1996).

De Dallas à Montréal. (M.Philipps, De L’Homme, 1996).

The Kennedy Tapes. Inside the White House During the Cuban Missile Crisis. (E. May & Ph. Zelikow, Harvard University Press, Cambridge, 1997).

Harvey and Lee. (J. Amstrong, JFK Lancer Publications, 1997).

Compelling Evidence : new look at the assassination of JFK. (M. Griffith, Lancer Publications, 1997).

One hell of a gamble. Khrushchev, Castro, and Kennedy. (A. Fursenko & T. Naftali, Norton, New York, 1997).

The dark side of Camelot. (S. Hersh, Back Bay Books, 1997).

The Kennedy conspiracy. (A. Summers, Warner Books, New York, 1998).

Cover-Up. (S. Galanor, Kestrel Books, New York, 1998).

JFK, autopsie d’un crime d’Etat. (W. Reymond, Flammarion, Paris, 1998).

Marilyn Monroe, enquête sur un assassinat. (D. Wolfe, Albin Michel, Paris, 1998).

La face cachée du clan Kennedy. Une enquête explosive. (S. Hersh, L’Archipel, Paris, 1998).

Vendetta. Castro and the Kennedy Years. (W.B. Breuer, Wiley, New York, 1998).

Live by the Sword. The Secret War Against Castro and the Death of JFK. (G.Russo, Bancroft Press, 1998).

John Fitzgerald Kennedy Assassination Records Project Completed. (Center for Study on the Intelligence, Washington, 1999).

Sons and Brothers. The Days of Jack and Bobby Kennedy. (R.D. Mahoney, Arcade, 1999).

( parutions dans les années 2000 )

Lee Harvey Oswald. Affaire classée. (A. Frewin, Serpent à Plumes, 2001).

13 jours. La crise des missiles de Cuba. (R. Kennedy, Grasset, Paris, 2001).

– The Presidential Recordings John F. Kennedy. (Ph. Zelikow & E.May, Norton, 2001).

Der Kennedy-Effekt. (N.B. Enkelmann, Redline, 2002).

Four days in November. (T. Wickers, St Martin’s Press, 2003).

La malédiction des Kennedy. (E. Klein, Presses de la Cité, Paris, 2003).

– J.F. Kennedy. (R. Dallek, Penguin Books, 2003).

Les nouvelles preuves sur l’assassinat de J.F. Kennedy. (C. Lebeau, Le Rocher, Monaco, 2003).

Kennedy, une vie comme aucune autre. (G. Perret, Encre de Nuit, 2003).

John F. Kennedy. (C. Moisy, Librio, Paris, 2003).

Coroner. Les dossiers secrets du médecin légiste de Hollywood. (Th. Noguchi, Presses de la Cité, Paris, 2003).

John et Jackie. Histoire d’un couple tragique. (Ch. Andersen, Ramsay, Paris, 2003).

Blood, Money and Power. (B. McClellan, Hannover House, 2003).

Kennedy und Österreich. (M. Kofler, Studien Verlag, 2003).

John et Robert Kennedy. L’autre destin de l’Amérique. (F. Lecomte, Equinoxe, 2003).

JFK, le dernier témoin. (W. Reymond et B. Sol Estes, Flammarion, Paris, 2003).

Ask Not. (Th. Clarke, Henry Holt & Co, New York, 2004).

JFK, autopsie d’un crime d’Etat. (W. Reymond, Flammarion, Paris, 2004).

Le temps des Kennedy. (A. Coppolani, Houdiard, Paris, 2005).

Sons of Camelot. The Fate of an American Dynasty. (L. Leamer, HarperCollins, 2005).

La conspiration Kennedy. (M. Smith, Michel Lafon, Neuilly, 2006).

Comment Castro a tué Kennedy. (I. Efimov, Le Rocher, Monaco, 2006).

The Man on the Grassy Knoll. (J.R. Craig & P.A.Rogers, Lulu Press, New York, 2006).

The JFK Assassination Debates. Lone Gunman Versus Conspiracy. (M.L. Kurtz, University Press of Kansas, 2006).




Bibliographie sur l’affaire Greenpeace

( parutions dans les années 1980 )

Coulez le Rainbow Warrior. (C. Lecomte, Messidor, Paris, 1985).

L’affaire Greenpeace. (X. Luccioni, Payot, Paris, 1986).

Enquête sur trois secrets d’Etat. (J. Derogy et J.M. Pontaut, Laffont, Paris, 1986 ; pp. 143-310).

Des affaires très spéciales. (J.M. Bourget et Y. Stephanovitch, Plon, Paris, 1986 ; pp. 251-272).

Death of the Rainbow Warrior. (M. King, Penguin, 1986).

The Rainbow Warrior Affair. (R. Shears & I. Gidley, Unwin Paperbacks, Londres, 1986).

Mission Oxygène. (P. du Morne Vert, Filipacchi, Paris, 1987 ; roman).

– Eyes of Fire. The Last Voyage of the Rainbow Warrior. (D. Robie, New Society Pub, New York, 1987).

( parutions dans les années 1990 )

L’affaire Greenpeace. (J. Derogy, Crémille, Paris, 1990).

La Décennie Mitterrand. (M. Martin-Roland et P. favier, Seuil, Paris, 1991 ; tome 2, pp. 329-357).

Agente secrète. (D. Prieur, Fayard, Paris, 1995).

Guerres secrètes à l’Elysée. (P. Barril, Albin Michel, Paris, 1996 ; pp. 245-262).

La face cachée de Greenpeace. (O. Vermont, Albin Michel, Paris, 1997).

Un amiral au secret. (P. Lacoste, Flammarion, Paris, 1997).

Histoire des services secrets français. (D. Porch, Albin Michel, Paris, 1997 ; pp. 221-234).

Encyclopédie du renseignement. (J. Baud, Lavauzelle, Paris, 1998; pp. 440-441).

Carnets secrets d’un nageur de combat. (A. Mafart, Albin Michel, Paris, 1999).

L’œil du pouvoir. (G. Ménage, Fayard, Paris, 1999 ; pp. 445-574).

( parutions dans les années 2000 )

Contre Espionnage. Mémoires d’un patron de la DST. (Y. Bonnet, Calmann-Lévy, Paris, 2000 ; pp. 152-160).

Aux Services de la République. Du BCRA à la DGSE. (C. Faure, Fayard, Paris, 2004 ; pp. 507-538).




Bibliographie sur l’affaire Dreyfus

( parutions dans les années 1890 )

Une erreur judiciaire. L’affaire Dreyfus. (B. Lazare, Stock, Paris, 1897).

La vérité sur l’affaire Dreyfus. (F. Esterhazy, Hayard, Paris, 1898).

L’affaire Dreyfus-Esterhazy. Les étapes de la vérité. (H. Vononen et L.H. May, Stock, Paris, 1898).

L’affaire Dreyfus. Les machinations contre le colonel Picquart. (Ph. Dubois, Stock, Paris, 1898).

L’affaire Dreyfus. Les faits et les preuves. (X, Stock, Paris, 1898).

L’affaire Dreyfus. Un héros, le colonel Picquart. (F. de Pressensé, Stock, Paris, 1898).

Humanité, vérité, justice. L’affaire Dreyfus. (E. Zola, Fasquelle, Paris, 1898).

L’affaire Dreyfus. Une conscience : le lieutenant-colonel Picquart. (J. Reinach, Stock, Paris, 1898).

L’affaire Picquart devant la Cour de cassation, 8 décembre 1898 – 2 et 3 mars 1899. (X, Sock, Paris, 1899).

L’affaire Dreyfus et ses ressorts secrets. (P. Grousset, Godet, Paris, 1899).

Die Affaire Dreyfus. Eine kriminalpolitische Studie. (O. Mittelstadt, Guttentag, Berlin, 1899).

L’affaire Dreyfus. Procès en révision, le bordereau est d’Esterhazy. (L. Frank, Lamertin, Bruxelles, 1899).

L’affaire Dreyfus à l’étranger. (A. Cheradame, Levé, Paris, 1899).

L’affaire Dreyfus et la République. (J. Parisot, Wattier, Paris, 1899).

Affaire Dreyfus, analyse de l’enquête. (Y. Guyot, Stock, Paris, 1899).

L’affaire Dreyfus, ses dessous allemands. (Cdt P.A. Thirion, La Marseillaise, Marseille, 1899).

L’affaire Dreyfus devant la Cour de cassation. (R. Dubreuil, Stock, Paris, 1899).

Impressions du Cherche-Midi. Essai sur le colonel Picquart. (H. Villemar, Stock, Paris, 1899).

( parutions dans les années 1900 )

Notes sur l’affaire Dreyfus. (J.Cornely, Société française d’édition d’art, Paris, 1900).

Affaire Dreyfus. Débats parlementaires. (Cahiers de la quinzaine, Paris, 1903).

Affaire Dreyfus. Examens critiques d’un mémoire intitulé « Le Bordereau, études des dépositions de M. Bertillon et du capitaine Valerio au Conseil de Guerre de Rennes ». (A. Molinier et P. Painlevé, Imprimerie Kadar, Paris, sans date [1904 ?] ).

Affaire Dreyfus. Le procès Dautriche. Compte rendu sténographique in-extenso. (X, Société Nouvelle de Librairie et d’Edition, Paris, 1905).

Bibliographie de l’affaire Dreyfus. (P. Desachy, Cornély, Paris, 1905).

Appel au pays. (H. Dutrait-Crozon, Librairie de l’Action française, Paris, 1906).

L’affaire Dreyfus. La révision du procès de Rennes. (H. Mornard, Ligue française pour la défense des droits de l’homme et du citoyen, 1907).

L’affaire Dreyfus, criminelle machination politique, religieuse, sociale et administrative. (B. Nourisson, Ruedi, Lausanne, 1909).

( parutions dans les années 1910 )

Histoire de l’affaire Dreyfus. (J. Reinach, Fasquelle, Paris, 1901-1911 ; 7 vol.).

Souvenirs de l’affaire Dreyfus. (Cdt Cuignet, Belleville, Paris, 1911).

Comment fut rouverte l’affaire Dreyfus. Le rôle du colonel Picquart… (L. Leblois, Ligue des Droits de l’Homme, Paris, 1914).

( parutions dans les années 1920 )

Précis de l’affaire Dreyfus. (H. Dutrait-Crozon, Nouvelle Librairie Nationale, Paris, 1924).

L’affaire Dreyfus. Ce que tout Français doit en connaître. (J. Roget, Librairie de l’Action française, Paris, 1925).

( parutions dans les années 1930 )

L’affaire Dreyfus et la IIIe République. (G. Charensol, KRA, Paris, 1930).

L’affaire Dreyfus. (B. Weil, Gallimard, Paris, 1930).

Carnets. La vérité sur Dreyfus. (Von M. Schwartzkoppen, Rieder, Paris, 1930).

L’affaire Dreyfus. (A. Zevaes, Nouvelle Revue Critique, Paris, 1931).

Historique de l’affaire Dreyfus. (A. Charpentier, Fasquelle, Paris, 1933).

Souvenirs sur l’Affaire. (L. Blum, Gallimard, Paris, 1935).

Souvenirs de la Sûreté générale. Autour de l’affaire Dreyfus. (J. France, Rieder, Paris, 1936).

L’affaire Dreyfus et l’expertise des documents écrits. (E. Locard, Desvigne, Lyon, 1937).

Les côtés mystérieux de l’affaire Dreyfus. (A. Charpentier, Rieder, 1938).

( parutions dans les années 1940 )

L’affaire Dreyfus. (J. Kayser, Gallimard, Paris, 1946).

L’anticléricalisme et l’affaire Dreyfus. (L. Caperan, Imprimerie régionale, Toulouse, 1948).

( parutions dans les années 1950 )

Journal de l’affaire Dreyfus. (M. Paléologue, Plon, Paris, 1955).

Aux sources de l’Affaire. (M. Baumont, Productions de Paris, Paris, 1959).

( parutions dans les années 1960 )

D’Esterhazy à Dreyfus. (H. Giscard d’Estaing, Plon, Paris, 1960).

L’affaire Dreyfus et la presse. (P. Boussel, Colin, Paris, 1960).

L’affaire sans Dreyfus. (M. Thomas, Fayard, Paris, 1961).

L’énigme Esterhazy. (H. Guillemin, Gallimard, Paris, 1962).

Lumières sur l’affaire Dreyfus. (H. Dardenne, Nouvelles Editions Latines, Paris, 1964).

( parutions dans les années 1970 )

Bibliographie thématique et analytique de l’affaire Dreyfus. (L. Lipski, Fasquelle, Paris, 1970).

L’affaire Dreyfus. (G. Roux, Perrin, Paris, 1972).

The Dreyfus Trials. (G. Chapman, Batsford, London, 1972).

L’affaire Dreyfus. (M. de Lombares, Presses Universitaires de France, Paris, 1973).

A travers l’affaire Dreyfus. (A. Ehrhardt, Klincksieck, Paris, 1977).

L’affaire telle que je l’ai vécue. (M. Dreyfus, Grasset, Paris, 1978).

L’affaire sans Dreyfus. (M. Thomas, Idégraf, Genève, 1979).

( parutions dans les années 1980 )

El Affaire Dreyfus en Espana. (J. Jareno Lopez, Godoy, Murcia, 1981).

Mentalité xénophobe : le contre-espionnage en France et les racines de l’affaire Dreyfus. (A. Mitchell, Revue d’Histoire moderne et contemporaine, n° 29, Paris, juillet-septembre 1982).

L’Affaire. (J.D. Bredin, Julliard, Paris, 1983).

Esterhazy ou l’envers de l’affaire Dreyfus. (M. Thomas, Lebaud, 1989).

L’affaire Dreyfus revue et corrigée. (A. Figueras, De l’Ouest, Paris, 1989).

( parutions dans les années 1990 )

L’affaire Dreyfus in Italia. (M. Raspi, ETS, Pisa, 1991).

Une erreur judiciaire. L’affaire Dreyfus. (B. Lazare, Allia, Paris, 1993).

L’affaire Dreyfus de A à Z. (M. Drouin, Flammarion, Paris, 1994).

L’affaire Dreyfus. (V. Duclert, La Découverte, Paris, 1994).

Un secret bien gardé. Histoire militaire de l’Affaire Dreyfus. (J. Doise, Seuil, Paris, 1994).

Regards sur l’affaire Dreyfus. (D. Halevy, Fallois, Paris, 1994).

L’affaire Dreyfus. (E.Cahm, Librairie générale française, Paris, 1994).

L’affaire Dreyfus, la République en péril. (P. Birnbaum, Gallimard, Paris, 1994).

L’affaire Dreyfus. (P. Miquel, Presses Universitaires de France, Paris, 1996).

J’accuse! Emile Zola et l’affaire Dreyfus. (Ph. Oriol, J’ai lu, 1997).

Alfred Dreyfus. Carnets. (Ph. Oriol, Calmann-Levy, Paris, 1997).

J’accuse : 13 janvier 1898. (A. Pagès, Perrin, Paris, 1997).

The Dreyfus Affair in the Making of Modern France. (L.S. Lerner, Research Publications, Woodbridge, 1997).

Journal de l’année 1898. (R. Paulucci, Stock, Paris, 1998).

L’affaire Dreyfus. Le procès Zola : devant la cour d’assises de la Seine, 7 février – 23 février 1898. (X, Stock, Paris, 1998).

Le Parlement et l’affaire Dreyfus. (V. Duclert, Assemblée nationale, Paris, 1998).

L’affaire Dreyfus. (M. Winock, Seuil, Paris, 1998).

L’affaire Dreyfus. (D. Bon, De Vecchi, Paris, 1999).

( parutions dans les années 2000 )

Les vérités cachées de l’affaire Dreyfus. (A. Israël, Albin Michel, Paris, 2000).

L’affaire Dreyfus. (G. Clémenceau, Mémoire du livre, Paris, 2001).

Les temps de l’affaire Dreyfus. (J. Jaurès, Fayard, Paris, 2001).

L’armée de Dreyfus. (Général A. Bach, Tallandier, Paris, 2004).

L’affaire Dreyfus. (H. Guillemin, Utovie, 2005).

Histoire de l’affaire Dreyfus. (J. Reinach, Laffont, Paris, 2006).

L’affaire Dreyfus. Dictionnaire. ( M. Drouin, Flammarion, Paris, 2006).

Affaire Dreyfus. Conspiration dans la République. (M. Mouhou, L’Harmattan, Paris, 2006).

Alfred Dreyfus. L’honneur d’un patriote. (V. Duclert, Fayard, Paris, 2006).

L’affaire Dreyfus, une affaire d’honneur. (Y. Amiot, Via romano, Versailles, 2006).




Bibliographie sur l’affaire Darlan

( parutions dans les années 1940 )

Alger et ses complots. (M. Aboulker, Documents Nuit et Jour, Paris, 1945).

Expédients provisoires. Le coup d’Alger. (P. Gosset et R. Gosset, Fasquelle, Paris, 1945).

Le 8 novembre 1942. (G. Esquer, Charlot, Paris, 1946).

Du débarquement africain au meurtre de Darlan. (A. Kammerer, Flammarion, Paris, 1949).

La grande énigme de la guerre : Darlan. (Vice-Amiral Docteur, La Couronne, Paris, 1949).

( parutions dans les années 1950 )

D’Alger à Paris. (J. Soustelle, Laffont, Paris, 1950).

L’Histoire des mes « trahisons ». (G. Auphan, Plon, Paris, 1951).

La querelle des généraux. (Chamine, Albin Michel, Paris, 1952).

L’amiral Darlan parle. (A. Darlan, Amiot-Dumont, Paris, 1953).

( parutions dans les années 1960 )

Un diplomate parmi les guerriers. (R. Murphy, Laffont, Paris, 1965).

Les grandes énigmes de la Seconde Guerre mondiale. (B. Michal, Saint-Clair, Paris, 1965).

Le meurtre de l’amiral. (P. Tompkins, Albin Michel, Paris, 1966).

( parutions dans les années 1970 )

Tout commence à Alger. 1940-1944. (P. Ordioni, Stock, Paris, 1972).

Nous avons tué Darlan. (M. Faivre, La Table Ronde, Paris, 1975).

Julien, ou la route à l’envers. (Ph. Ragueneau, Albin Michel, Paris, 1976).

Les rivaux de Charles de Gaulle. (A. Laurens, Laffont, Paris, 1977).

L’assassinat de Darlan. (A. Decaux, Perrin, Paris, 1979).

De Munich à la Libération. (J-P. Azéma, Seuil, Paris, 1979).

( parutions dans les années 1980 )

Deux crimes d’Alger. (A. Fabre-Luce, Julliard, Paris, 1980).

Le chemin du Palais d’Eté, Alger 1942. (M. Faivre, Regirex-France, Paris, 1982).

Admiral Darlan, de Gaulle und das royalistische komplot in Algeria 1942. (E. Krautkramer, Vierteljahrshefte für Zeitgeschichte, Berlin, 1984).

Les derniers jours de Darlan. (J. Moreau, Pygmalion, Paris, 1985).

Le secret de Darlan. 1940-1942. Le complot, le meurtre. (P. Ordionni, Albatros, Paris, 1986).

Darlan. (H. Couteau-Bégarie, Fayard, Paris, 1989).

Les Anglais ont-ils assassiné Darlan ? (Revue L’Histoire, n° 121, avril 1989).

( parutions dans les années 1990 )

Qui a donné l’ordre d’assassiner Darlan? (Revue Historia, n° 529, 1991).

L’assassinat de l’amiral Darlan. (A.-J. Voituriez, L’Esprit du temps, Bordeaux, 1992).

Qui a tué Darlan? (J-B. d’Astier de la Vigerie, Atlanthrope, 1992).

La jeunesse et la résistance. (A. Gandy, Presses de la Cité, Paris, 1992).

Darlan, un amiral entre deux blocs. (R.O. Paxton, Vingtième Siècle, n° 36, 1992).

Le mystérieux docteur Martin 1895-1969. (P. Péan, Fayard, Paris, 1993).

L’assassinat de Darlan. (A. de Chantérac, Perrin, Paris, 1995).

La fracture. De Londres 1941 à Sétif 1945. (P. Ordionni, Nouvelles Editions Latines, Paris, 1995).

Journal de guerre. Londres-Alger, avril 1943-juillet 1944. (H. Queuille, Plon, Paris, 1995).

L’affaire Darlan. (L. Richard, sujet de thèse, Institut d’Etudes Politiques de Lyon, septembre 1998).

La Synarchie. Le mythe du complot permanent. (O. Dard, Perrin, Paris, 1998).

Les assassins qui ont voulu changer l’histoire. (P. Accoce, Plon, Paris, 1999).

Les ténébreuses affaires du comte de Paris. (J. d’Orléans, Albin Michel, Paris, 1999).

( parutions dans les années 2000 )

Opération « Torch ». (M. Junot, Fallois, Paris, 2001).

Darlan. (G.E. Melton, Pygmalion, Paris, 2002).

Aux Services de la République. Du BCRA à la DGSE. (C. Faure, Fayard, Paris, 2004 ; pp. 119-129).




Bibliographie sur l’affaire Ben Barka

( parutions dans les années 1960 )

J’accuse Lemarchand. (A. Tislenkoff, Saint-Just, Paris, 1966).

L’affaire Ben Barka. (Cahier du Témoignage chrétien, n° 45, 1966).

L’affaire Ben Barka. (D. Sarne, La Table Ronde, Paris, 1966).

La ténébreuse affaire Ben Barka. (J.P. Marec, Presses Noires, 1966).

La Lutte tricontinentale. (A-P. Lentin, Maspéro, Paris, 1966).

El-Mehdi Ben Barka, mon frère. (A. Ben Barka, Laffont, Paris, 1966).

Une philosophie sur l’affaire Ben Barka. (T. Mali , Imprimerie Hettiger, Lyon, 1966).

L’affaire Ben Barka. (Le Canard Enchaîné, n° spécial, juin 1966).

L’affaire Ben Barka. (Le Crapouillot, n° spécial, 1966).

Ben Barka chez les juges. (F. Caviglioli, La Table Ronde, Paris, 1967).

On a tué Ben Barka. (R. Muratet, Plon, Paris, 1967).

( parutions dans les années 1970 )

Accusé, taisez-vous! (L. Souchon, La Table Ronde, Paris, 1970).

Réquisitoire contre un despote. (M. Diouri, Albatros, 1972).

Echec au roi. Du coup d’Etat de Shirat au suicide d’Oufkir. (F. Pédron, La Table Ronde, Paris, 1972).

La mort de Mehdi Ben Barka : un dossier à rouvrir. (Cahier du Témoignage chrétien, n° 54, 1973).

L’affaire Ben Barka. (L. Dufresse, Vérité, Paris, 1973).

Oufkir. (C. Clément, Jean Dullis, 1974).

Une république pour un roi. (P. July, Fayard, Paris, 1974).

Les assassins de Ben Barka : dix ans d’enquête. (D. Guérin, Authier, Paris, 1975).

( parutions dans les années 1980 )

SDECE, Service 7. (Ph. Bernert, Presses de la Cité, Paris, 1980).

La Tricontinentale et les secrets du mondialisme. (Y. Moncomble, Faits et Documents, 1980).

Ben Barka, ses assassins : seize ans d’enquête. (D. Guérin, Plon, 1981).

Ben Barka. Vingt ans après. (Actes du colloque du 26 ocobre 1985 à Paris, Arcantère, Paris, 1986).

De Gaulle. (J. Lacouture, Seuil, Paris, 1986 ; vol.III).

Israël ultra-secret. (J. Derogy et H.Carmel, Laffont, Paris, 1989).

( parutions dans les années 1990 )

Notre ami le roi. (G. Perrault, Gallimard, Paris, 1990).

Les mystères de l’affaire Ben Barka. (J-C. Kerbouch, La Crémille, Paris, 1990).

L’affaire Ben Barka. (B. Violet, Fayard, Paris, 1991).

Les secrets de l’espionnage français. (P. Krop, Payot, Paris, 1995 ; pp. 595-602).

Ben Barka. (Z. Daoud et M. Mounjib, Michalon, Paris, 1996).

Affaires d’Etat. (F. Gerber, Albin Michel, Paris, 1997).

Mehdi Ben Barka. De l’indépendance marocaine à la Tricontinentale. (R. Gallissot, Karthala, Paris, 1997).

Ils ont tué Ben Barka. (J. Derogy et F. Ploquin, Fayard, Paris, 1999).

( parutions dans les années 2000 )

Confession d’un espion. (A. Lopez, Fayard, Paris, 2000).

De l’antigang à la criminelle. (Commissaire Leclerc, Plon, Paris, 2000).

Silence, on tue. (P. Krop, Flammarion, Paris, 2001; pp. 229-269).

Oufkir. Un destin marocain. (S. Smith, Pluriel, 2002).

Le Secret. Ben Barka et le Maroc, un ancien agent secret des services spéciaux parle. (A. Boukhari, Michel Lafon, Paris, 2002).

Cadavres sous influence. (Ch. Deloire, Lattès, Paris, 2003 ; pp. 165-170).

Aux Services de la République. Du BCRA à la DGSE. (C. Faure, Fayard, Paris, 2004 ; pp. 341-363).

« Barbouze » du Général. (P. Lemarchand, Le Cherche midi, Paris, 2005).

L’indic et le commissaire. (L. Aimé-Blanc, Plon, Paris, 2006).

Les Enigmes de la Ve République. (Ph. Valode, First, Paris, 2007; pp. 45-67).




Les services secrets du général de Gaulle : Le BCRA, 1940-1944

Quelles furent les véritables relations du général de Gaulle avec le Bureau Central de Renseignement et d’Action? Quels furent le rôle exact et l’influence de ce service pendant la Seconde Guerre mondiale? Le B.C.R.A mérite-t-il la légende noire qui l’accompagne?

Pour une poignée de Français, la guerre ne s’arrête pas avec l’armistice de 1940. Mais la continuer est un pari audacieux quand manquent les moyens humains, financiers et matériels. Tout ou presque est à inventer. C’est dans cet esprit qu’à Londres le colonel Passy organise le Bureau central de renseignement et d’action (BCRA). Son objectif est triple: recueillir des renseignements sur ce qui se passe en France, soutenir les résistants de l’intérieur dans leur combat, puis imposer à ceux-ci une tutelle souvent fort mal acceptée.

Grâce à des fonds d’archives exceptionnelles – 600 cartons du BCRA, celles du SOE britannique et de l’OSS américaine –, Sébastien Albertelli retrace l’aventure de ces personnages hors du commun : le colonel Passy, le colonel Rémy, Jean Moulin, Pierre Brossolette, Roger Wybot (futur patron de la DST), André Manuel, Pierre Fourcaud ou Honoré d’Estienne d’Orves. Il détaille les relations compliquées et fluctuantes entre le général de Gaulle et les services secrets, étudie les rapports tumultueux du BCRA avec les Anglais ou les Américains et démonte la légende noire qui s’est tissée autour du BCRA.

Son travail minutieux, qui fourmille d’informations inédites, permet de comprendre comment la toile d’araignée des services spéciaux français a mené la lutte contre les Allemands et Vichy.

La thèse dont ce livre est issu a reçu le Prix Philippe Viannay – Défense de la France, décerné par la Fondation de la Résistance. Sébastien Albertelli, agrégé et docteur en histoire, a participé au Dictionnaire de la Résistance et au Dictionnaire De Gaulle.




Hommage au Colonel René Tramier (1894-1945)

A la mémoire du Colonel d’Artillerie René TRAMIER…

Mon destin a croisé celui du Colonel Tramier. Commandant la Subdivision Militaire d’Annecy, rue de l’Intendance, en janvier 1944, où après diverses péripéties, sous couvert d’un emploi de planton, j’attendais avec son accord le moment opportun de rejoindre le maquis des Glières, alors en cours de structuration.

Ce projet devait être irrémédiablement compromis le 28 janvier 1944.

A cette date, le bâtiment de la Subdivision Militaire était inopinément investi, à l’aube, part la Wehrmacht, occupante de la caserne du 27e BCA voisine du bâtiment de l’Intendance.

Je fus moi-même arrêté ce jour-là sous l’inculpation d’attentat contre les troupes d’occupation. Le Colonel Tramier fut arrêté le 7 février 1944 par la Gestapo.

C’est grâce à son intervention que je dois d’avoir eu la vie sauve. Lui­même est mort en déportation.

C’est à sa mémoire que je souhaite rendre hommage en retraçant sa car­rière militaire que j’ai pu reconstituer grâce au Service Historique de l’Armée de terre.

R.G. GRIVEL-DELILLAZ
Membre de l’ASSDN

Biographie

Né le 22 janvier 1894 à Briançon, René, Emile, Victor Tramier s’engage le 12 avril 1912 pour trois ans, au titre du 48e Régiment d’Artillerie de Campagne.

C’est avec son Régiment qu’il prend part à la guerre contre l’Allemagne, qui est déclarée le 4 août 1914.

Il était alors Maréchal des Logis.

Engagé sur tous les fronts, il y fait la preuve des plus belles qualités ” de cou­rage et d’énergie “, qualités qui lui valurent sa nomination au grade de Sous­Lieutenant le 3 février 1917, ainsi que trois citations, en 1915, 1916 et 1918

Voici le texte de la dernière de ces citations, datée du 15 juillet 1918

” Excellent officier, modèle de bravoure et de calme. Dans la nuit du 14 au 15 juillet 1918, sa batterie étant violemment bombardée, a su, par son attitude et son courage, maintenir tout son personnel aux postes de combat, assurant ainsi la continuité parfaite du tir “.

Nommé Lieutenant le 3 février 1919, il est affecté à cette date au 32e RA, puis, détaché comme instructeur à l’École d’Application de l’Artillerie, du le7 octobre 1923 au 2 octobre 1926, date à laquelle il est muté au 19e RAD.

Nommé Capitaine le 25 septembre 1927, il est promu Chef d’Escadron le 24 mars 1936 et affecté au 93e RA.

Le 2 septembre 1939 (à la veille de la déclaration de guerre), il prend le com­mandement du Se groupe du 293e RAM.

Le 9 octobre 1939, il est mis à la disposition du Général, commandant l’Inspection Générale de l’Artillerie, pour assurer les cours d’artillerie au camp de Mailly.

Le 14 février 1940, il rejoint le 10 le RAL. Affecté dans un premier temps au les groupe, il prend le commandement du Régiment le 14 mars 1940.

Le texte de la citation à l’ordre de l’Armée en date du 9 juin 1941, signée par le Général Huntziger, Commandant en Chef des Forces Terrestres, Secrétaire d’État à la Guerre, rend témoignage du comportement exemplaire du Chef d’Escadron René Tramier, à la tête de son Régiment jusqu’au 25 juin 1940, date de la signature de l’Armistice

” Officier supérieur, courageux et énergique. A obtenu de son régiment un rendement remarquable dans la région des boucles de l’Escaut en mai 1940, puis sur la Somme et sur la Nonette en juin. S’est dépensé en particulier sans comp­ter, au cours de la bataille de la Somme, contribuant largement, grâce à l’esprit de sacrifice de son 2e groupe, à arrêter pendant 48 heures la progression de l’en­nemi, lui détruisant de nombreux engins blindés. Pris sous le feu de l’aviation de bombardement et encerclé par des chars ennemis, dans son poste de commande­ment de Fresnay-les-Roye, pendant toute la journée du 5 juin, a continué à diri­ger par radio, avec maîtrise, l’action de ses groupes, ne se repliant que sur ordre, au cours de la nuit du 5 au 6 juin. Engagé à nouveau à plusieurs reprises, pendant la retraite, dans des circonstances périlleuses, a parfaitement rempli les missions qui lui étaient confiées. A réussi à ramener au complet le matériel de deux de ses groupes “.

Il était titulaire de la Croix de Guerre depuis le 29 juin 1940.

Le 10 juin 1940, il est affecté à l’État-major du département de la Corrèze, à Brive.

Le 15 novembre 1940, l’Armée d’Armistice est créée, ” forte en métropole de 350 000 hommes dont 12 640 artilleurs servant presque uniquement le canon de 75, modèle 1897 ” (source Henri Amouroux, dans son ouvrage La grande his­toire des Français sous l’Occupation).

Promu au grade de Lieutenant-Colonel le 2 avril 1941, René Tramier est affecté au 24e RA à Tarbes.

Rayé des contrôles du Régiment le 2 juin 1941, il bénéficie d’une permission renouvelable du ler décembre 1942 au 28 février 1943.

 

Placé en congé d’armistice à la date du ler mars 1943, il est promu au grade de Colonel le 28 septembre 1943.

Rappelé à l’activité le ler octobre 1943, il est nommé au commandement de la Subdivision Militaire d’Annecy.

C’est dans ce poste qu’il est arrêté, ainsi que son Chef d’État-major, le Commandant Pierre Rolandey, le 28 janvier 1944, lors de leur prise de service, dans les locaux de la Subdivision Militaire, rue de l’Intendance.

Tous deux sont relâchés, sous la condition d’avoir à se présenter au siège de la Gestapo annécienne le 7 février 1944. C’est à cette date qu’ils furent mis en état d’arrestation.

Dès lors, leur destin était définitivement scellé.

Ce fut en effet, pour eux, le Fort Montluc à Lyon, la prison de Fresnes, les camps de Buchenwald, Dora et. Ellrich (le bagne des bagnes), où mourut le Colonel Tramier le 7 janvier 1945.

Quant au Commandant Rolandey, il fait partie d’un convoi qui, devant l’avance des armées alliées, évacue les malades du camp d’Ellrich, à destination du camp de Nordhausen.

On apprendra, lors du procès de Nuremberg, que les ” SS ” avaient achevé, avant d’arriver au camp de Nordhausen, les déportés du convoi les plus faibles.

On pense que c’est ainsi qu’est mort Pierre Rolandey, dysentérique, parvenu au bout de ses forces, le 5 mars 1945.

J’ai su par la suite, par son fils, que le Commandant Rolandey était membre d’un réseau de renseignements de l’AS (le réseau Bruno-Kléber) et qu’il avait été victime d’une dénonciation, ce qui avait motivé l’intervention des troupes alle­mandes, le 28 janvier 1944.

Je suppose que le Colonel Tramier, qui était son supérieur hiérarchique, n’était pas sans connaître les activités de son subordonné, activités auxquelles sans doute lui-même était mêlé, comme d’ailleurs l’ensemble du personnel de la Subdivision, ce qui, aux yeux des Allemands, étant amplement justifié pour moti­ver également son arrestation.

Tel fut le destin du Colonel d’Artillerie René Tramier, engagé pour trois ans, en 1912, à l’âge de 18 ans au 48e RAC, héros des deux derniers conflits mon­diaux, qui ont ensanglanté le XXe siècle. Colonel en 1943, il meurt en déporta­tion le 7 janvier 1945, à l’âge de 51 ans.

Titulaire des Croix de Guerre 14/18 et 39/45, il avait été fait Chevalier de la Légion d’honneur le 29 décembre 1932 et promu au grade d’Officier, le 15 mai 1944.




Les Services speciaux francais 1940-1942- Général Rivet

Voici donc le vieux S.R, rétabli dans la zone exiguë où le confinent les conditions d’un armistice inexorable.

Numériquement amoindri par la démobilisation des réserves, il dispose sensiblement de son effectif du temps de paix. Sa qualité est intacte. Son aire de travail, affectée par le débordement germanique à l’Ouest, le met en prise dicte avec l’adversaire : la ligne de démarcation n’est pas un obstacle.

L’étiquette trompeuse de Bureau M.A. l’abrite provisoirement des curiosités du dehors. Le large éventail de son implantation et une dissimulation réalisée au maximum lui permettent de poursuivre sans interruption ses oeuvres de la veille.

La suppression du S.R. ancienne manière, qui surviendra le 5 Août, restera sans résonance dans le public. La guerre du renseignement, la guerre contre l’Allemand et contre ceux, dociles ou traîtres qui le serviront, continue.




Des 1941, le 2eme bureau prédit la défaite de l’Allemagne

Nous avons reproduit dans le bulletin n°15 les passages les plus caractéristiques de la première “Note pour le Commandement” où, après avoir fait un bilan lumineux des forces qui s’affrontaient dans le conflit germano-russe, le Colonel BARIL concluait qu’en dépit de succès initiaux que remporterait l’Armée allemande à l’époque de sa puissance, Hitler serait hors d’état de venir à bout de la résistance russe et, par conséquent, d’échapper au terme fatal d’une victoire alliée.

La deuxième “Note pour le Commandement”, dont nous extrayons ci-dessous les passages essentiels, établit que la première phase de l’offensive allemande se solde en définitive par un échec, et fournit la condition première de l’affaiblissement de l’Allemagne en présence de la croissance accélérée des moyens dans le camp Anglo-Saxon. BARIL devient affirmatif : mis à part un miracle impossible, l’Allemagne est condamnée à terme, le désastre point à l’horizon.